jeudi 29 avril 2010

La fièvre des séries me donne des chaleurs…

-C’était tellement intense! Des frissons me courent dans le dos. Je suis sans voix! Le CH en deuxième ronde, WOW!”

-Et pourquoi cette envolée tout à coup? Quelle stratégie nouvelle l’équipe a-t-elle adoptée? Est-ce des joueurs différents de la saison régulière?

-Heu… je l’ignore. Halak est trop fort, mais je n’ai pas vraiment suivi la saison.


À cet instant même, une envie folle de répliquer à cet individu me prit. “Bravo champion! Tu sautes de joie, tu es plongé dans la béatitude de l’extase, tu t’achètes un drapeau pour mettre sur ta voiture, tu montres ton patriotisme envers les Canadiens, mais tu n’es même pas foutu de suivre leur saison régulière.” Un discours trop direct me direz-vous? Des propos désobligeants? Peut-être. Mais je trouve malsain, ou dommage, oserais-je dire afin de paraître plus aimable, que certains individus commencent à festoyer puis à louanger les joueurs simplement parce que les séries ont enfin débuté et parce que l'équipe montréalaise gagne.


Je comprends cette frénésie qui entoure cette période de l'année, qui permet aux gens de se rassembler, de vivre intensivement une panoplie d’émotions, bref de créer une cohésion de groupe. C’est correct. J’accepte ces raisons. Cependant, si un de vous est dans l’impossibilité de répondre à cette liste de questions (niveau de difficulté 3/10) à propos de l’équipe qu'il adule depuis le début des séries, qu'il se pose alors les vraies questions. Est-il réellement le « fan » qu'il croit?

-Qui est le meilleur marqueur de l’équipe?

-Latendresse a été échangé pour quel autre joueur?

-Qui a remplacé Bob Gainey comme directeur général ?

-Qui suis-je, j’ai le #14 et mon contrat avec le Canadien se termine à la fin de la saison ?

-Qui s’est blessé au genou droit le 30 janvier dernier et qui a fait son retour le 24 mars ?

-Quel est le numéro de Lapierre ?

-Question piège, qui est le capitaine du CH ?


Avouez qu’en ce moment vous me trouvez rabat-joie, avouez, allez? Vous éprouvez une certaine haine, inoffensive de préférence, et vous sentez probablement que je vous empêche de célébrer. C’est faux. Je désire sincèrement vous voir ressentir des émotions « vraies », m’assurer que vous acclamez une équipe pour les bonnes raisons. Si le CH se retrouve à faire les séries et qu'il vous permet de jouir d’un plaisir physique et mental, comprenez que c’est grâce à l’énergie qu’il a déployée durant la saison régulière. En ce qui me concerne, que l'équipe ait eu des hauts et des bas, « I don’t care ». Mais j’ai à cœur le parcours des Canadiens qui mène à des résultats. Croire que ma présence assidue devant mon téléviseur a peut-être fait une différence, me satisfait pleinement.


J’avoue avoir été brève aujourd’hui, mais je crois que mes propos, et je l’espère, vous feront réfléchir et réagir. Je vous demande également de vous poser une autre question. Si le Canadien n’avait pas participé aux séries, qu’auriez vous fait, qu’auriez vous dit. «Ah! Ils se sont pognés le beigne toute l’année, ça me surprend pas.» De un, parlez en connaissance de cause svp. Puis pour ma part, que l’équipe gagne ou qu’elle perde, qu’elle joue comme un pied ou qu’elle joue admirablement bien, je serai toujours présente pour regarder patiner les « habs » et apprécier le sport, qu’est le hockey.


En terminant, je souhaite à tous les fans du CH, une bonne fin de séries. Et pour ceux et celles qui n'aiment pas le hockey, je vous apprécie quand même! :)

samedi 24 avril 2010

Nadal, un "Gypsy"?

La semaine dernière, mon billet mettait en vedette ces sportifs, fashion victims, qui osent démontrer non seulement leur talent athlétique, mais également leurs attraits physiques. Afin de suivre la tendance, je vous propose aujourd’hui une vidéo qui représente admirablement bien l’athlète dans un contexte différent d’un match de tennis.

Au menu : Rafael Nadal, no3 mondial du classement ATP, dans le clip de Shakira « Gypsy ».

En ce qui me concerne, une vidéo très simpliste. Un contenant excellent pour les deux sexes, mais un contenu de premier niveau.
Un style « film de série B » ou un chef-d’œuvre édenien?
Qu’en pensez-vous?

mercredi 14 avril 2010

Des sportifs "fashion victims"?

L’allure "fashion", l’attitude « glamour », les couvertures de magazines, l’univers de la mode exerce sur l’esprit une véritable fascination. D’ailleurs, qui ne rêve pas de jouer au top modèle ou de s’improviser créateur d’une ligne de vêtements? Pour certains athlètes professionnels, la réponse semble tellement naturelle qu’ils se laissent eux-mêmes séduire par ce monde dangereusement attrayant. Les sportifs qui volent la vedette aux mannequins, qui posent pour des photographes célèbres et qui se transforment en designer, représentent la réalité d’aujourd’hui. Une situation favorable ou déplorable?


Le monde du sport en mutation, il est de plus en plus fréquent d’apercevoir des athlètes profiter de leurs nombreux attraits physiques et de se lancer dans le « mannequinat ». En plus d’être acclamés pour leurs performances sportives, ils arrivent à se faire une célébrité avec leurs jambes de gazelle, leur abdos découpés, leur corps désirable. Bravo à eux! Un phénomène si intriguant nécessite obligatoirement des questionnements! Peuvent-ils faire les deux? Ont-ils la capacité d’exceller en alternant « photo shooting » et compétitions internationales? Doivent-ils choisir entre champion ou célébrité? Revenons quelques années plus tôt. Vous connaissez Anna Kournikova? Oui, la belle et sexy Russe aux cheveux d’or. Elle était mannequin, non? Erreur, à la base, joueuse de tennis constituait son métier. Mais faute de pouvoir s’entraîner en raison de blessures répétitives et par passion pour le « jet-set », elle choisit d’exploiter admirablement bien son corps par le biais de photos, d’émissions de télévision, de publicités. Quel mal y a-t-il à profiter de ses atouts, hein? Si elle s'enrichit davantage grâce à ses contrats publicitaires que ses performances sportives, pourquoi n'abandonne-t-elle pas le tennis afin de se concentrer sur son talent de « poseuse »? Et bien, c’est ce qu’elle a fait. On lui a souvent reproché de n’avoir jamais récolté un titre en simple sur le circuit de la WTA. Ok, fine! Elle a malgré tout réussi à faire parler d’elle d’une autre façon. Néanmoins, en voyant ce genre d’attitude, de comportement, je me demande réellement s’il est normal que cette athlète professionnelle soit, avant tout, reconnue pour son sourire charmeur et non son coup droit? Et si à l’inverse, je prononce le nom, Wayne Gretzky, par exemple. La première image qui vous vient en tête est assurément celle d’un athlète qui possède 61 records dans LNH. D’ailleurs, n’est-ce pas la job d’un sportif de laisser sa trace à travers les années, avec ses performances grandioses? À moins que son but ultime consiste à faire de l'argent en se pavanant devant la lentille. À vous de me le dire!


Si certains ont opté pour le « mannequinat », d’autres ont été charmés par l’univers du design. La tendance d’investir dans une ligne de vêtements ou de faire équipe avec un créateur s’installe et semble persister. Pas assez satisfaisant de mettre en valeur mes qualités athlétiques, pourquoi ne pas faire plus et exploiter ma créativité, dira le sportif. Super intéressant, non? Surtout lorsque l’athlète est au top et que sa popularité ne cesse de croître. Qui ne voudrait pas porter la robe de la numéro 1 mondiale, Vénus Williams, sur un terrain de tennis ou les fameux pantalons à carreaux de Ian Poulter sur le green? Mais cette opportunité si alléchante peut, dans certains cas, se transformer en un obstacle difficile à surmonter. Si durant une période quelconque l’athlète fait face à des complications, s’il se blesse, s’il dégringole dans le classement, que se passera-t-il? Qui désirera parader vêtu d’un chandail dessiné par le 80ème mondial. Personnellement, pas moi! Mais si j’avais le choix, je n’hésiterais pas à me procurer les vêtements d’un ancien médaillé d’or aux Jeux Olympiques, appelé Bruny Surin. Quelle bonne idée a-t-il eu de lancer sa collection après une merveilleuse carrière! Jouissant déjà d’une excellente réputation, il augmente ses chances de réussir. Pour les intéressés, sa ligne de vêtements de sport pour hommes et pour femmes est en vente au Québec.


Après mûres réflexions, je crois que les athlètes peuvent faire les deux, puis s’ils arrivent à une symbiose entre champion et « fashion star », tant mieux. Cependant, il est d’une évidence même que leur carrière d’athlète doit être priorisée. La performance sportive est celle qui assure l’accès à une première notoriété et si elle se voit négliger, bye-bye crédibilité et adieu le fan club! En ce qui me concerne, si l’athlète est en mesure de se retrouver parmi les meilleurs au monde et de poser en sous-vêtements pour un magazine, je n’y vois aucun inconvénient. Pensiez-vous vraiment que j’allais fermer mes yeux et me priver de ces performances? :)

vendredi 9 avril 2010

Un kinésio, ça prévient les bobos?

« Un prof d’éduc?, un physio?, un ergo? » « Non, un kinésiologue! » Vous connaissez? La kinésiologie s’intéresse au mouvement humain. Cette science connaît aujourd’hui un essor en raison du vieillissement de la population et de l’intérêt grandissant du mieux-être des individus. Malgré un désir intense d’acquérir une popularité auprès du grand public et d’être au sommet de sa notoriété, cette discipline semble encore en laisser plus d’un perplexes. D’ailleurs, un journaliste en a lui-même perdu ses mots, la semaine dernière. Dans un des médias écrits québécois, l’orthographe du terme « kinésiologie », était incorrecte. Assez décevant, non? Je manifesterai donc ma solidarité en éclaircissant le mystère de ces éducateurs physiques aux formations beaucoup plus avancées. Afin d’assurer l’exactitude de mes propos, j’ai fait appel à une kinésiologue, actuellement à la maîtrise, prénommée Amélie.


C’est quoi ça?: La kinésiologie est une pratique professionnelle destinée à favoriser un état d’équilibre et de bien-être physique. Elle utilise le mouvement afin d’améliorer la condition physique, la capacité des muscles et des systèmes énergétiques d’un individu. Par le biais d'interventions spécialisées et sécuritaires, le kinésiologue exerce des fonctions telles que, l’évaluation de la condition physique, la conception de programmes d’entraînement spécialisés, l’analyse des tâches et activités ainsi que le suivi de ses clients. Il accorde également une grande importance à la promotion de la mise en forme en se donnant comme rôles principaux:

-de partager ses conseils, ses connaissances des bienfaits du sport et de l’éducation en matière d’activité physique

-d’animer des séances d’entraînement

-de faire la promotion et la création de programmes en santé

-de promouvoir l’assiduité de l’exercice.


Puis moi, est-ce je peux travailler avec un « kin »?: Si la force du kinésiologue réside dans la variété de ses tâches, elle se trouve également dans la diversité de ses clients. Tout d’abord, celui-ci peut travailler en étroite collaboration avec des athlètes désireux d’améliorer, de façon considérable, leurs résultats, leurs performances. Le kinésiologue a également la chance de mettre ses compétences à profit en prenant en charge des individus en réadaptation physique, ayant souffert de blessures musculosquelletiques. De plus, à l’aide d’exercices précis et adaptés, le spécialiste de l’activité physique, peut travailler seul ou en interdisciplinarité avec d’autres intervenants de la santé (médecin, physiothérapeute, psychologue, nutritionniste, ergothérapeute), afin d’améliorer la condition des populations symptomatiques (maladies cardiovasculaires, maladies chroniques, troubles métaboliques, récupération post-opératoire etc). Finalement, toute personne, qu’elle soit enceinte, stressée, atteinte d’incapacités physiques, de 7 à 77 ans ou plus, qui a à cœur sa santé et qui désire améliorer sa qualité de vie, peut avoir recours à ces professionnels.


Comment choisir un bon kinésiologue?: Il semble d’une évidence même que, pour certains, l’univers de la kinésiologie est méconnu, voire même inconnu. Il est donc difficile, pour ceux-ci, de se tourner vers ce genre de pratique. Je vous conseille d’aller sur le site de la Fédération des kinésiologues du Québec (FKQ) et de vous diriger dans la section « trouver un kinésiologue ». Le bottin vous permettra de faire des recherches rapides en fonction de la région, du service, du secteur, de la clientèle, etc. Mais comme dans plusieurs domaines, le bouche-à-oreille se révèle être une méthode très efficace pour s’informer. Soyez donc tout ouïe! D’ailleurs, afin de faciliter votre travail, selon Amélie, les principales qualités que doit posséder un bon « spécialiste de l’entraînement » sont, l’écoute, le professionnalisme, l’empathie, le positivisme et l’énergie contagieuse. Ah! Comme c’est étrange!, Amélie maîtrise parfaitement ces habiletés! :)


Puis le déroulement?: Après avoir trouvé votre « kin» de rêve, il est maintenant temps de suivre votre première séance. Tout individu recevra des services adaptés qui répondront à ses besoins. Cependant, des étapes de base font partie du processus de la mise en forme.

1. Consultation afin de prendre connaissance des besoins du client (ses attentes, ses objectifs, ses limites) et de ses préférences (à domicile, en clinique, privé, semi-privé)

2. Évaluation de la condition physique (différents tests à passer)

3. Élaboration du programme d’entraînement en fonction des résultats obtenus

4. Suivi fait selon le type de programme et de sa fréquence. La méthode utilisée est F.I.T.T. : Fréquence (nombre de fois), Intensité, Temps (durée), Type (le genre d’activité)


De nos jours, l’intégration de la kinésiologie en milieu de travail est de plus en plus fréquente. J’ai d’ailleurs demandé à Amélie ce qu’elle en pensait. « On sait que la santé est une des grandes préoccupations de notre société et si nous, les kinésiologues, sommes en mesure de l'intégrer des les milieux de travail, ce sera un grand pas vers l'amélioration de la condition physique. Que ce soit grâce à des cours de groupe pendant le dîner, à des « clubs » de marche, à des conférences ponctuelles, à des « gym » intégrés dans le milieu de travail, ces mesures peuvent définitivement faire une différence. Amélie m’a également mentionné que l’entreprise Ubisoft possède maintenant un « gym » accessible aux employés dans leur milieu de travail, et queBombardier profite de l’expertise de kinésiologues, qui leur offrent des séances d’étirements, d’activation et d’exercices de mobilité, sur place. Le point positif dans tout ça ? Ces initiatives ont permis de diminuer à long terme les risques de blessure et d’améliorer la qualité du travail des employés.


C’est fini !!: Ais-je réussi à éclairer le mystère de la kinésiologie? Comprenez-vous mieux l’importance de cette pratique? Ais-je persuadé les plus septiques de se mettre en forme ? Si je n’ai pu répondre à vos questionnements, je vous dirai simplement: « Mieux vaut prévenir que guérir!» Et si ça ne fait pas votre affaire, écrivez à la charmante kinésiologue, à l’adresse amelie_plante@hotmail.com. Amélie vous donnera davantage de conseils et de recommandations.

dimanche 4 avril 2010

Quand stationnement rime avec découragement, il est temps de prendre les devants.

« Les femmes ne savent pas conduire! », préjugé tenace que je tentais désespérément de combattre, mais hélas, j’ai renoncé à gagner cette bataille. Dans la vie, des évènements se présentent, sans même vous demander la permission. Ils vous sautent en pleine face et bon Dieu que vous préféreriez être sourd et aveugle lorsqu’ils surviennent.


La semaine dernière, je sors du centre commercial, paisiblement, clés dans les mains, direction ma voiture. À ce même moment, j’aperçois une Chevrolet Malibu, beige, conduite par une femme d’une quarantaine d’années. Mes yeux repèrent également un espace de stationnement libre. Flairez-vous le danger? Parce que moi, tellement je le renifle, je lancerais illico un SOS. La voiture se dirige alors dans l’endroit disponible. À défaut de s’arrêter, comme tout individu normal et à jeun aurait fait, elle fonce dans le pare-chocs de l’auto garée devant elle. « BANG » Prévisible, vous me direz? Mais moi, jeune femme utopiste, j’y croyais encore au « perfect woman parking ». L’histoire s’est finalement terminée avec la présence d’un témoin et d’un agent de sécurité, mais je n’entrerai pas dans les détails par respect pour la femme. À l’inverse, cet incident m’a donné le goût de créer une liste de trucs et de recommandations pour réussir à se stationner. À noter, les conseils donnés ne sont pas nécessairement suivis par la personne qui les proposent et l’auteure ne se considère pas « pro » du stationnement, mais simplement habile comme un chat.


Voici les 10 leçons de prettytomboy.
1- Soyez conscients de tout ce qui vous entoure. Observez l’environnement et prenez garde aux piétons puis aux autres véhicules.
2- Assurez-vous de bien connaître les dimensions de votre voiture.
3- Afin d’éviter les égratignures, renoncez à vous stationner près d’une voiture en mauvais état, car le propriétaire ne se préoccupe guère de l’apparence de son véhicule, donc du vôtre.
4- Abstenez de vous garer derrière une mini-fourgonnette. Au volant de ce type de véhicule, la vision est réduite, le calcul des distances est plus difficile donc, possibilité d’un accrochage.
5- Lors d’un stationnement à 90 degrés, privilégiez celui à reculons, car il vous permet de prendre possession d’un espace plus étroit et de sortir facilement de votre emplacement.
La méthode :
a- Placez l’arrière de votre voiture vis-à-vis le derrière ou le devant du véhicule situé à côté de l’espace libre.
b- Reculez à une vitesse lente tout en regardant constamment autour de vous.
c- Une fois dans votre espace, remettez votre voiture parallèle à l'autre et assurez-vous que votre volant est bien droit.
d- Je vous en supplie, ne collez pas le véhicule à votre droite, car si le propriétaire est incapable d’entrer dans sa voiture, innocemment, il ne se gênera pas pour abîmer la vôtre.
6- Lors d’un stationnement en parallèle entre deux voitures, il est important de savoir quand vous devez tourner votre volant.
La méthode
a. Placez votre voiture parallèlement au trottoir et mettez votre rétroviseur vis-à-vis celui du véhicule stationné à l’avant.
b. Reculez jusqu'à ce que votre rétroviseur de droite soit au niveau du phare arrière du véhicule de devant.
c. À ce moment-là, tournez votre volant en direction du trottoir jusqu'à ce que l'axe central de votre voiture s'aligne avec le phare (coté trottoir) de la voiture derrière vous.
d. Ramenez votre volant de l’autre bord et reculez le long du trottoir. Voyez si vous n'êtes pas trop collés aux deux voitures et le tour est joué.
7- N’oubliez pas que tout véhicule routier doit être stationné à, au plus 30 cm de la bordure la plus rapprochée de la chaussée. Si vous pensez que cette règle n’est pas appliquée, j’ai moi-même méritée une amende à 2hres 15 du matin, pour avoir enfreint ce règlement.
8- Si vous faites un stationnement en parallèle, évitez de laisser un espace tellement grand qui empêcherait des voitures de se garer. Si la rue permet à 10 véhicules de se stationner, ce n’est pas normal qu’il y en ait seulement 7.
9- Prenez votre temps. Y’a pas le feu! Vous pouvez recommencer, ou faire de petits ajustements afin de replacer votre véhicule correctement.
10- Finalement, «
hit an run », à ne pas faire SVP! Meilleure idée? Petit mot sur le pare-brise, merci.


Je viens de vous énumérer mes 10 principes de « l’art de bien se garer ». Premièrement, ces éléments s’adressent autant aux femmes qu’aux hommes, anxieux de prendre le volant. Deuxièmement, vous n’êtes pas obligés de tester mes conseils, car je suis moi-même une fille. Troisièmement, je suis ouverte à tous commentaires pertinents qui amélioreraient ma liste. Et finalement, qui embarque avec moi? :)


P.S. je vous laisse avec une vidéo où le conducteur ne se gêne pas de faire des ajustements… http://www.youtube.com/watch?v=iLKR9tCiwvA