Grève de l’écriture devais-je faire jusqu’à la semaine prochaine, mais un événement inattendu, j’oserais même dire jamais souhaité, est survenu. L’expression “coup de foudre”, vous connaissez? Avant aujourd’hui, ce phénomène occupait la place d’honneur de ma liste nommée « utopies », devançant le parfait bonheur, la fin des guerres et l’amour éternel. Et s’il existait, il se produisait uniquement au pays d’Eldorado. Contre toute attente, s’en même m’avoir demandé la permission, cette décharge électrique m’a frappée à toute vitesse.
Par une journée où le soleil semble tellement scintillant que vous avez l’impression qu’il sonne à votre porte pour vous dire : « qu’est-ce que t’attends pour sortir dehors », la casanière en moi enfila sa tuque, ses mitaines puis bondit à l’extérieur, condamnée à profiter des rayons lumineux. Démarche lente et joues légèrement rosées causées par le froid, je regardais autour de moi, candidement, absorbée dans mes pensées. Tout à coup, je l’ai aperçu. Il était là. Demandez-moi si coup de foudre il y a eu? Impossible de vous répondre, car mon incroyance et mon indifférence à cette théorie me laissent sans point de repère. Cependant, je peux vous dire que si c’est; ressentir une chaleur intense qui parcourt mon corps de la tête aux pieds même quand il fait environ -30 à l’extérieur, si c’est avoir des battements de cœur qui augmentent à une vitesse folle, sans pourtant être sur une piste de course à courir le 100 mètres contre Usain Bolt et si c’est sentir mes jambes devenir tellement molles au point d’être déséquilibrée sans avoir été témoin d'un séisme, je crois bien avoir été prise au piège par ce mystérieux coup de tonnerre.
Il se tenait droit devant moi. Un cercle lumineux, une auréole, l’entourait. Sa beauté me coupait le souffle. Son côté élégant, racé, mélangé à son apparence sportive m’intriguaient au plus au point. Il avait la carrure idéale, pas trop dominante, mais juste assez robuste pour me protéger si malheur s’abattait sur moi. Il me donnait envie de voyager à ses côtés et d’entreprendre des activités hautes en performance. Il semblait avoir naturellement une agilité prodigieuse. Il présentait un dynamisme puissant qui éveillait en moi une émotion que je n’oserai vous dévoiler. D’ailleurs, mes yeux « vicieux » ne purent s’empêcher de s’écarquiller et d’observer son derrière. (je suis trop polie pour utiliser un autre terme) Ouf! Des sueurs coulaient le long de mon front. Je fus parcourue d’un frisson et sentis la coloration de mon visage changée sans savoir s’il rougissait ou devenait pâle. Je ne cessais de l’épier. C’était incontrôlable. Je me répétais constamment : « Marie je t’en supplie, arrête de le fixer, arrête voyons. Pense à autre chose, pense à Stéphane Dion ou au pire, à un nain de jardin, mais arrête s’il te plait, ressaisis-toi…” Cette situation en quoi je ne croyais pas, me rendait si impuissante et maladroite que j’agissais comme une gamine de 4 ans. Moi, la femme au cœur de pierre et supposément sans émotion était envahie par un malaise peu commun, mais étrangement agréable. Toujours entrain de fixer cette perfection, j’entendis derrière moi: “Hey! » Je me mis à paniquer. “Ça y est, quelqu’un vient me filmer avec son cell, il enverra la vidéo à Radio-Canada et je serai à la une du bulletin de nouvelles qui aura pour titre: L’obsédée sexuelle. Mon Dieu, aidez-moi, venez sauver mon âme!” Exagération? À peine! Bon, je repris mon calme tout en tentant d’arrêter mon imagination beaucoup trop fertile. Je décidai de me retourner vers l’ennemi tentant de dégager confiance et courage, même si au fond de moi, excusez-moi l’expression, mais je chiais dans mes culottes. Simultanément, il me dit, d’une manière assez prétentieuse: ”Pas pire la petite bête hein? 555 chevaux et une performance de 250 km / hre.” Rouge comme une tomate trop mûre, je lui fis signe de la tête, et partis avec une démarche assez rapide, voire même une allure de sprinteuse. (Je tiens à préciser que cette histoire est inspirée d’un fait vécu, mais certains éléments sont fictifs)
Je vous ai dit qu’un homme se cachait à l’intérieur de ce corps. Ma passion : les « chars ». Ma perfection : BMW X6 (activehybrid) ROUGE avec une puissance de 480 hp et « the pretty tomboy » au volant.
Pour tous ceux et celles qui aimeraient s’informer sur les modèles BMW et trouver celui qui vous convient le mieux, allez vous rincer l’œil au http://www.bmw.ca.
Et voici un truc simple pour les débutants qui cherchent à augmenter leurs connaissances en matière de voiture. À chaque fois que vous vous retrouvez sur la route, que vous dépassez une voiture ou qu’une voiture vous dépasse, anticipez la marque et le modèle de celle-ci. Regardez les phares, la calandre, le profil, l’arrière, ces éléments vous aideront à identifier le véhicule. Est-ce une berline, un « break », un coupé, un SUV? Deux portes? Quatre portes? Pour ceux qui se déplacent à pied ou à vélo, faites de même. Et lorsque vous aurez passé au stade intermédiaire, vous pourrez deviner l’année et étudier davantage la mécanique.
Finalement, pour vous mesdames, vous verrez qu’un « char » peut être aussi attrayant et même parfois plus qu’un homme… Et pour vous messieurs, selon Jamie Foxx, les femmes c’est comme des voitures : « Vous achetez une Mercedes, elle est neuve. Vous la conduisez quelques années. Vous en apercevez une autre, plus récente et vous pensez « Wouah! », il me la faut. Mais ce que vous cherchez vraiment au fond, c’est l’indémodable. Vous voulez trouver cette Chevy de 57 ou cette Corvette de 67 que vous allez garder jusqu'à la fin de votre vie.