jeudi 25 février 2010

Sans voix...

Je fis des efforts terribles pour me contrôler. Les pleurs montaient, luisaient au bord de mes paupières. Incapable de me ressaisir, de grosses larmes se détachèrent de mes yeux et ruisselèrent doucement sur mes joues. Sans voix, je restais devant la performance de Joannie Rochette. Sans voix, j’étais devant une athlète remplie de courage qui a pu ignorer, ou endormir pendant 2 minutes 50, sa souffrance. Joannie Rochette, tu es une battante. Tu représentes cette force que chaque individu désire posséder afin de surmonter les douleurs du corps et de l’âme. Joannie Rochette, tu me fais réaliser que j’oublie trop souvent de dire à ma mère qu’elle est importante à mes yeux, que je l’aime.


Aujourd'hui, peu de mots sont écrits, mais une émotion collective est ressentie.

À toi Joannie la Grande, ton héroïsme nous marquera à jamais.

À vous, qui avez vécu et qui vivrez des moments épineux, douloureux, songez à ces mots et trouvez votre voix.

« Comme une force en soi

Qui nous retient qui nous soulève

Bien plus que l'on croit

Quand on a mal et qu'on en crève

Cette force en toi

Plus qu'un refuge et qu'un abri

C'est l'instinct qui te redonnera la vie » (paroles de Marie-Élaine Thibert)

mardi 16 février 2010

Dans l'ombre d'un champion...

Donald Dion, vous connaissez? Et Frédéric Jobin? Êtes-vous plongés dans une ignorance totale en lisant ces deux noms? Puis maintenant, si je vous parle de Sylvie Bernier et de Caroline Brunet? Une lumière s’allume j’espère, ou du moins, une légère flammèche scintille? Bernier est la première Canadienne à gagner une médaille d'or en plongeon aux Jeux Olympiques de 1984 à Los Angeles. Quant à Brunet, avec ses 2 médailles d’argent et 1 de bronze aux JO, elle devient la plus grande athlète que le canoë-kayak ait connu. Mais revenons aux deux individus du début. Qui sont-ils? Vous avez une idée? Les « formateurs » de ces deux championnes. Exploiteurs de talent, motivateurs, êtres essentiels à la réussite d’un athlète, les entraîneurs vivent trop souvent dans l’ombre…


Mon objectif aujourd’hui : faire l’éloge du métier d’entraîneur sportif. Vous êtes tous d’avis avec moi que nous venons d’assister, en direct de Vancouver, à deux évènements grandioses gravés à jamais dans nos cœurs canadiens. Après l’or à Turin, Jennifer Heil remporte la médaille d’argent, ici, en territoire connu devant tous ses partisans déchaînés. Par la suite, croyant avoir ressenti assez d’émotions pour au moins les 10 prochaines années de ma vie, Bilodeau le bosseur, devient le premier Canadien de l’histoire à être couvert d’or dans son pays. Mais quels athlètes! De vrais prodiges! À la suite de tels exploits, qui croyez-vous qu’ils remercient lors de leur entrevue? « Je n’avais jamais été aussi bien préparée pour une course, avec le programme « Sur le podium » et les conseils de Dominick, mon entraîneur. » « J'ai été tellement bien entouré par ma famille, mes amis, mon entraîneur… » Bien oui, leur entraîneur, leur alter égo. À travers ces propos, j’ai réellement pris conscience qu’au-delà du talent d’un athlète, il y a un « coach » qui l’accompagne à concrétiser ses projets, à atteindre son but.


Un coach fait partie intégrante d’un athlète. Sans sa présence, ses conseils techniques, son support, un athlète ne pourrait développer son plein potentiel. De toute évidence, la symbiose entre l’entraîneur et l’entraîné se doit d’être parfaite afin d’atteindre le but ultime; l’or aux Jeux Olympiques. Quant à moi, l’exemple le plus représentatif de ce partenariat est le nageur Michael Phelps et son entraîneur. Depuis l’âge de 11 ans, l’américain profite du savoir-faire et du savoir-être de Bob Bowman qui l’initie aux quatre disciplines de la natation. À l’âge de 19 ans, il réussit à décrocher 8 médailles dont six d’or aux Jeux d’Athènes de 2004. N’ayant pas dit son dernier mot, « The Baltimore Bullet » remporte également 8 médailles d’or sur les 8 épreuves auxquelles il participe aux Jeux de Pékin. Pour le champion d’un mètre 93, le titre d’entraîneur représente non seulement l’image d’un mentor, mais également d’un ami, d’un confident, d’un conseiller. Et pour certains, comme Jennifer Heil, le rôle devient celui d’un partenaire de vie.


Si une relation peut être aussi fusionnelle et respectueuse entre deux individus, il va de soi qu’un risque d’incompatibilité peut également survenir à tout moment chez deux personnalités trop différentes. Rappelez-vous de la plongeuse Émilie Heymans. Après 12 années aux côtés de Michel Larouche, la médaillée olympique d'argent et de bronze en plongeon synchronisé met un terme à leur union. Selon elle, un problème majeur de communication et un conflit de personnalité sont à l’origine de cette « rupture ». Malgré ce différend entre les deux, cette athlète et cet entraîneur sont en soi des êtres remarquables qui continueront de croître, de se perfectionner et trouveront leur voie.


Quoi qu’il en soi, je crois que chaque athlète trouve chaussure à son pied. Essayez de vous déplacer avec un soulier uniquement. Impensable! Les deux sont conçus pour «marcher» ensemble. Réunis, ils parcourent un chemin commun jusqu’à la ligne d’arrivée en relevant les défis et en trouvant les solutions aux obstacles…


À vous tous entraîneurs, merci d’être présents dans la vie des athlètes. Merci de développer et construire des individus aussi performants qui nous font vivre une gamme d’émotions en passant de l’excitation au stress, allant jusqu’à l’hystérie et l’inquiétude. Restez qui vous êtes. Et sachez que nous sommes pleinement conscients que derrière chaque athlète exceptionnel se cache un entraîneur tout autant exceptionnel.

lundi 8 février 2010

Juge-moi donc sans me juger!

Les Jeux Olympiques, mais quel événement prestigieux! N’est-ce pas la compétition sportive la plus attendue par les athlètes? À tous les quatre ans, ces guerriers, ces machines, ces passionnés du sport qui ont mis corps et âme dans leur entraînement, ont enfin cette unique chance de prouver au monde entier leur talent. Cette étape de leur vie, ils la rêvent depuis toujours. Sacrifices, non, choix de vie diront-ils, ils en ont fait sans même les compter. Mais qu’advient-il lorsque leur rêve se voit freiner par la partialité d’un individu communément appelé : juge


À quelques jours des Jeux de Vancouver, malgré toute cette frénésie qui règne, je sens en moi un peu d’agacement. Les fameux sports jugés! Si plaisants à regarder mais malheureusement souvent synonymes de controverse. Et pourquoi cette polémique ? Parce que l’évaluation de leur qualité artistique et technique, tel que le patinage artistique, est l’affaire d’un jury, contrairement aux épreuves où la performance dépend d’un temps. Mais qui donc siègent à ce comité ? Des membres choisis selon certains critères entre autres selon leur nationalité. Cette réponse en dit long sur la manière de juger, n’est-ce pas ? Assez difficile pour un juge de mal noter un athlète représentant son pays. Tout autant difficile pour une mère de dire à sa fille unique qu’elle est la deuxième plus belle.


C’est pendant les Jeux de Salt Lake City en 2002, avec l’histoire du duo Salé / Pelletier en patinage artistique, que j’ai commencé à prendre conscience de cette problématique, mais sans nécessairement m’y attarder. Le vrai moment clé ? Les Jeux Olympiques d’Athènes 2004. Pourquoi ? Quand ta sœur participe à un tel événement, je peux vous dire que tu te retrouves dans un état avec un degré d’intensité tellement élevé que tout te touche vraiment profondément. En regardant les Jeux, j’ai compris que, autant grandioses ils sont, autant ils te jettent dans un état de consternation par moment. Et ce sentiment de désolation, je l’ai ressenti lors de la finale de gymnastique artistique masculine à l’épreuve du saut. Malgré la réussite de ses deux sauts, le canadien Kyle Shewfelt récolte une 4ème place derrière le roumain Marian Dragulescu qui manque son deuxième saut et qui en plus, rate le tapis d’arrivée. Supposition : un des juges aurait donné l’avantage à un athlète de même nationalité. Être témoin de ce genre de situation m’affecte réellement et quoi de pire que d’être envahie pas un sentiment d’impuissance.


Mais comment faire pour cesser les conflits d’intérêt entre les juges? Pouvons-nous réellement agir et changer les choses ? Les Jeux de Vancouver approchent à grands pas et l’univers du patinage artistique n’est pas à l’abri de cette controverse. Avec un code de pointage qui empêche de connaître les scores attribués par chacun des membres du jury, et avec le côté artistique qui est totalement laissé à la subjectivité des juges, il semble d’une évidence même que les risques d’arrondir une note en faveur d’un athlète sont toujours présents. N’empêche que si mesures sont prises pour contrer l’impartialité des juges, des problèmes plus « techniques » peuvent survenir. Souvenez-vous de Sylvie Fréchette aux Jeux de 1992 à Barcelone. Favorite pour remporter l’or en nage synchronisée, un juge se trompe en entrant la note sur l’ordinateur et celle-ci se voit reléguer au 2ème rang. Était-ce vraiment une erreur ? Son doigt aurait-il pu glisser sur une autre touche ?


Controverses, polémiques, il y en aura toujours. Un juge partial, un athlète qui ment sur son âge, un cycliste qui prend de l’EPO, ces situations font partie du milieu sportif. Désolant vous me direz ? Mais regardez autour de vous, ce genre de scandale se produit constamment ; l’Affaire Norbourg, la fraude d’Earl Jones, les pratiques douteuses dans l’industrie de la construction. Toutefois, en ce qui concerne le sport, nous devons faire confiance aux décisions de la majorité des juges même si certains n’arrivent pas à être subjectifs. Puis si nous sommes en désaccord contre une décision quelconque, nous aussi, téléspectateurs, avons le pouvoir d’être subjectifs dans l’évaluation d’une performance. Car nous aussi, avons nos préférés. ;)



*Je tiens à remercier ma sœur qui a éveillé en moi la passion du sport. Elle est, et sera toujours, en toute OBJECTIVITÉ, mon athlète préférée.

jeudi 4 février 2010

La perfection, relative à chacun...

Grève de l’écriture devais-je faire jusqu’à la semaine prochaine, mais un événement inattendu, j’oserais même dire jamais souhaité, est survenu. L’expression “coup de foudre”, vous connaissez? Avant aujourd’hui, ce phénomène occupait la place d’honneur de ma liste nommée « utopies », devançant le parfait bonheur, la fin des guerres et l’amour éternel. Et s’il existait, il se produisait uniquement au pays d’Eldorado. Contre toute attente, s’en même m’avoir demandé la permission, cette décharge électrique m’a frappée à toute vitesse.


Par une journée où le soleil semble tellement scintillant que vous avez l’impression qu’il sonne à votre porte pour vous dire : « qu’est-ce que t’attends pour sortir dehors », la casanière en moi enfila sa tuque, ses mitaines puis bondit à l’extérieur, condamnée à profiter des rayons lumineux. Démarche lente et joues légèrement rosées causées par le froid, je regardais autour de moi, candidement, absorbée dans mes pensées. Tout à coup, je l’ai aperçu. Il était là. Demandez-moi si coup de foudre il y a eu? Impossible de vous répondre, car mon incroyance et mon indifférence à cette théorie me laissent sans point de repère. Cependant, je peux vous dire que si c’est; ressentir une chaleur intense qui parcourt mon corps de la tête aux pieds même quand il fait environ -30 à l’extérieur, si c’est avoir des battements de cœur qui augmentent à une vitesse folle, sans pourtant être sur une piste de course à courir le 100 mètres contre Usain Bolt et si c’est sentir mes jambes devenir tellement molles au point d’être déséquilibrée sans avoir été témoin d'un séisme, je crois bien avoir été prise au piège par ce mystérieux coup de tonnerre.


Il se tenait droit devant moi. Un cercle lumineux, une auréole, l’entourait. Sa beauté me coupait le souffle. Son côté élégant, racé, mélangé à son apparence sportive m’intriguaient au plus au point. Il avait la carrure idéale, pas trop dominante, mais juste assez robuste pour me protéger si malheur s’abattait sur moi. Il me donnait envie de voyager à ses côtés et d’entreprendre des activités hautes en performance. Il semblait avoir naturellement une agilité prodigieuse. Il présentait un dynamisme puissant qui éveillait en moi une émotion que je n’oserai vous dévoiler. D’ailleurs, mes yeux « vicieux » ne purent s’empêcher de s’écarquiller et d’observer son derrière. (je suis trop polie pour utiliser un autre terme) Ouf! Des sueurs coulaient le long de mon front. Je fus parcourue d’un frisson et sentis la coloration de mon visage changée sans savoir s’il rougissait ou devenait pâle. Je ne cessais de l’épier. C’était incontrôlable. Je me répétais constamment : « Marie je t’en supplie, arrête de le fixer, arrête voyons. Pense à autre chose, pense à Stéphane Dion ou au pire, à un nain de jardin, mais arrête s’il te plait, ressaisis-toi…” Cette situation en quoi je ne croyais pas, me rendait si impuissante et maladroite que j’agissais comme une gamine de 4 ans. Moi, la femme au cœur de pierre et supposément sans émotion était envahie par un malaise peu commun, mais étrangement agréable. Toujours entrain de fixer cette perfection, j’entendis derrière moi: “Hey! » Je me mis à paniquer. “Ça y est, quelqu’un vient me filmer avec son cell, il enverra la vidéo à Radio-Canada et je serai à la une du bulletin de nouvelles qui aura pour titre: L’obsédée sexuelle. Mon Dieu, aidez-moi, venez sauver mon âme!” Exagération? À peine! Bon, je repris mon calme tout en tentant d’arrêter mon imagination beaucoup trop fertile. Je décidai de me retourner vers l’ennemi tentant de dégager confiance et courage, même si au fond de moi, excusez-moi l’expression, mais je chiais dans mes culottes. Simultanément, il me dit, d’une manière assez prétentieuse: ”Pas pire la petite bête hein? 555 chevaux et une performance de 250 km / hre.” Rouge comme une tomate trop mûre, je lui fis signe de la tête, et partis avec une démarche assez rapide, voire même une allure de sprinteuse. (Je tiens à préciser que cette histoire est inspirée d’un fait vécu, mais certains éléments sont fictifs)


Je vous ai dit qu’un homme se cachait à l’intérieur de ce corps. Ma passion : les « chars ». Ma perfection : BMW X6 (activehybrid) ROUGE avec une puissance de 480 hp et « the pretty tomboy » au volant.


Pour tous ceux et celles qui aimeraient s’informer sur les modèles BMW et trouver celui qui vous convient le mieux, allez vous rincer l’œil au http://www.bmw.ca.


Et voici un truc simple pour les débutants qui cherchent à augmenter leurs connaissances en matière de voiture. À chaque fois que vous vous retrouvez sur la route, que vous dépassez une voiture ou qu’une voiture vous dépasse, anticipez la marque et le modèle de celle-ci. Regardez les phares, la calandre, le profil, l’arrière, ces éléments vous aideront à identifier le véhicule. Est-ce une berline, un « break », un coupé, un SUV? Deux portes? Quatre portes? Pour ceux qui se déplacent à pied ou à vélo, faites de même. Et lorsque vous aurez passé au stade intermédiaire, vous pourrez deviner l’année et étudier davantage la mécanique.


Finalement, pour vous mesdames, vous verrez qu’un « char » peut être aussi attrayant et même parfois plus qu’un homme… Et pour vous messieurs, selon Jamie Foxx, les femmes c’est comme des voitures : « Vous achetez une Mercedes, elle est neuve. Vous la conduisez quelques années. Vous en apercevez une autre, plus récente et vous pensez « Wouah! », il me la faut. Mais ce que vous cherchez vraiment au fond, c’est l’indémodable. Vous voulez trouver cette Chevy de 57 ou cette Corvette de 67 que vous allez garder jusqu'à la fin de votre vie.

lundi 1 février 2010

L'abc du tennis

Mon plaisir matinal consiste à m’asseoir confortablement dans mon sofa, café au lait à la main, avec du lait écrémé naturellement, et à feuilleter un média écrit, dont je m’abstiendrai de citer le nom. D’ailleurs, afin d’atteindre le paroxysme de mon bonheur, je commence toujours ma lecture par la section des sports dans le but de jouir des nouvelles qui traitent ce domaine. Ce matin, mon regard s’est arrêté sur une photo particulièrement émouvante: celle d’un athlète, trophée dans les bras, sourire aux lèvres, dégageant un sentiment de fierté et de sérénité. Immédiatement je me suis transportée 24 heures plus tôt comme témoin d’un exploit grandiose. Pendant 2 heures et 41 minutes, assise devant ma télévision, les mains moites et envahie par une sensation qui se rapproche d’un amalgame d’excitation et d’angoisse, j’ai contemplé Roger Federer, l’athlète, le mari, le père, mais surtout le prodige, remporter son 16ème titre du Grand Chelem aux Internationaux de tennis d’Australie. En fermant mon téléviseur, je me suis mise à réfléchir à ce sport. L’homme en moi, la bête virile, adore le tennis, prend plaisir à regarder un match et apprécie le « feeling » de se retrouver sur un terrain face à l’adversaire. Mais pour certains, le tennis est d’un ennui mortel. Combien de fois ai-je entendu dire : « c’est tellement emmerdant deux personnes qui frappent une balle au-dessus d’un filet. » Je dois vous avouer que ce genre de commentaire me donne des palpitations très intenses. Dans le cas où une situation de la sorte se produit, je respire, je sors la femme en moi et je pense à la prochaine paire d’escarpins que je me procurerai. Réconfort garanti.


En ce qui concerne le tennis, je suis d’avis avec vous que le but premier du jeu est de frapper la balle de telle sorte que l’adversaire ne puisse la remettre dans les limites du terrain. Mais au-delà de ce règlement, le tennis est un exercice de stratégie. Les deux rivaux doivent s’analyser mutuellement, prendre conscience des forces et des faiblesses de chacun puis anticiper les coups. En réalité, c’est identique au hockey. Qu’on pratique avec une balle ou une rondelle, il faut tenter de déjouer son ennemi pour remporter la victoire. Et si vous n’êtes pas convaincus, transposez ma théorie dans votre vie quotidienne. Par exemple, pour vous messieurs, lorsque votre blonde chérie s’approche de vous avec une démarche à la Hitler, un regard exorbité et qu’elle vous dit avec un ton nullement sensuel : « faut qu’on se parle », illico vous comprenez que vous devez établir votre tactique afin de rivaliser avec son style de jeu.


Je vous lance un défi la prochaine fois que vous regarderez un match de tennis. Prenez la peine d’observer la manière qu’un joueur exécute ses mouvements, sa position, son jeu de jambes. Essayez de deviner dans quelle zone du terrain atterrira sa balle lorsqu’il frappera, qu’il servira. Soyez à l’affût de tout ce qui se passe sur le terrain. Monte-t-il au filet? Reste-t-il en fond de terrain? Amusez-vous à observer les tics des différents joueurs. Par exemple, Andy Roddick remonte toujours sa manche de chandail, Rafael Nadal tire constamment sur son short et Novak Djokovic fait rebondir sa balle à maintes reprises avant de servir. À défaut d’analyser la stratégie, rincez-vous l’œil en regardant des athlètes au corps sculpté ruisselant de sueur.


Et pour vous motiver, joueurs vierges, à pratiquer ce sport, car nous, joueurs expérimentés, possédons la clé du succès, le tennis c’est comme faire l’amour : « Plus on pratique, meilleur et endurant on devient et plus on se renouvelle dans ses stratégies. » Bonne game! :)