vendredi 28 mai 2010

Les stars du tennis, chanteurs?

Dans le cadre de l'émission "Un jour à Roland", Jo-Wilfried Tsonga, Robin Soderling et Andy Murray se sont prêtés au jeu du karaoké, avec Roger Federer comme animateur.

Au menu:
-I got a feeling des Black Eyed Peas
-Gimme, Gimme, Gimme du groupe Abba
-I want you back des Jacksons Five

Quelle est votre performance préférée? :)


mardi 18 mai 2010

Un gamin devenu un grand athlète...

Voici ma vidéo "coup de coeur" de cette semaine:
Le Serbe, Novak Djokovic, no3 du classement ATP.

Déjà à l'âge de 7 ans, raquette dans les mains, on sentait le champion en devenir! :)

dimanche 2 mai 2010

Dr Mary-Noël

Les chauds rayons du soleil, le chant des oiseaux qui vous pousse hors du lit, l’apparition d’un tapis de verdure, avouez que vous sentez l’arrivée de l’été ? D’ailleurs, je me réjouis avec confiance d’une suite de journées chaudes et humides qui me permettront enfin, après 6 mois d’attente, d’éprouver un plaisir physique à deux. Les esprits tordus, prière de vous abstenir s’il vous plaît, je parle d’un divertissement non sexuel, qui consiste à frapper une balle par-dessus un filet! Et oui, la saison extérieure de tennis arrive sous peu et quelle meilleure manière de faire de l’exercice tout en s’amusant ? Cependant, il serait malhonnête de ma part de vous assurer un sentiment de bonheur durant l’activité. Hélas, le tennis se veut un sport très technique et il semble n’exister aucun vaccin contre l’ennui qui peut s’y rattacher. Toutefois, une injection d’air pur ainsi qu’une prescription de ma part, soulageront vos inquiétudes. Voici donc mon cours de tennis 101 qui vous permettra d’apprendre les rudiments de ce sport si MERVEILLEUX.


Au menu cette semaine, pratique avec ma sœur, que je considère comme une joueuse moyenne, qui se débrouille bien. Cette séance m’a permis de l’observer et de prendre conscience de ses faiblesses majeures. Ses mauvaises habitudes et son style de jeu (elle possède quand même des qualités), m’ont donné l’inspiration pour élaborer ma stratégie. Le tennis semble facile n’est-ce pas ? « You just have to whack a ball over a net, right ? » Mais au-delà de ce but, il existe les coups, mais surtout la technique pour les réussir. N’ayez crainte, je ne développerai pas un plan incompréhensible de style « monter un meuble IKEA ». Au contraire, je désire simplement vous donner quelques conseils que vous pourrez mettre en application au moment où raquette de tennis vous tiendrez.


Tout d’abord, les trois coups principaux sont : le service, le coup droit (forehand) et le revers (backhand). Selon moi, le service demeure le coup doté du coefficient de difficulté le plus élevé en raison de sa complexité et sa nécessité de coordination. Par conséquent, pour les moins expérimentés, je vous recommande de ne pas exécuter le mouvement, mais simplement d’engager la balle à la cuillère (vers le bas). De cette façon, vous diminuez les risques de rater en début d’échange.


Les étapes :
1. La prise : En ce qui concerne le coup droit et le revers, vous devez avant tout, adopter une prise confortable et chercher à garder celle-ci pour viser la régularité. Vous devez également tenir fermement la raquette, car le manche ne doit ni bouger, ni tourner lors de votre frappe. Petit truc, en coup droit, prenez votre manche comme si vous serrez la main de quelqu’un.

2. La position : La position de frappe constitue un élément primordial. Elle implique principalement votre corps, vos pieds, vos épaules. En observant ma sœur, j’ai réalisé que ses mauvais appuis constituaient une source de nuisance qui l’empêchaient d’atteindre le maximum de force. La posture « de base » à adopter, car il en existe plus d’une, consiste à
-se tenir de profil
-positionner ses épaules perpendiculairement au filet
-placer ses pieds parallèlement au filet.


3. La préparation : Cette étape consiste à placer votre raquette pour prendre de l’élan lors de la frappe. En coup droit, la tête de raquette doit remonter loin derrière le dos, au niveau de la tête, voire même au-dessus. En revers, la raquette doit être à la même hauteur que vos épaules et le bout du manche doit pointer en direction du filet. La préparation doit se faire le plus rapidement possible. Aussitôt que vous percevez le coup que vous aurez à frapper (coup droit ou revers), placez immédiatement votre raquette adéquatement. Une préparation en retard égale une perte de contrôle et de vitesse.

4. La frappe : L’épreuve ultime, enfin. De un, essayez de frapper la balle légèrement devant vous et au sommet du rebond. De deux, évitez de frapper la balle trop basse, car elle remontera vers le haut en « balloune ». Pour les plus expérimentés, plus vous frappez la balle tôt après le rebond, plus vous serez en mesure de diriger votre cible jaune. Au moment de la frappe, avancez dans la balle afin que le poids de votre corps augmente la puissance. Finalement, après la frappe, poursuivez votre élan jusqu’à ce que votre épaule touche à votre menton.
Je vous propose :
-cette vidéo du coup droit :
http://www.youtube.com/watch?v=yo_zuz7bcLQ&NR=1
-cette vidéo du revers
http://www.youtube.com/watch?v=MbUdsJP8vgU
-pour les intéressés, vidéo du service
http://www.youtube.com/watch?v=xlE_q-4hZb0


« Brossé », « coupé », « slicé », « rétro » « kické », « lifté », des effets, il y en a. Amorti, volée, smash, demi-volée, lob, passing, les coups sont nombreux. 15-30, 40-15, égalité, avantage, le pointage est compliqué. Cependant, avec mes conseils, vous êtes maintenant capables d’exécuter le mouvement du coup droit et du revers, les deux coups principaux. Je ne peux vous garantir la réussite, mais pour ceux qui souffrent de la maladie « wannabe » et qui veulent désespérément devenir un Federer ou une Williams, je vous prescris un remède, la coach prettytomboy. :)

jeudi 29 avril 2010

La fièvre des séries me donne des chaleurs…

-C’était tellement intense! Des frissons me courent dans le dos. Je suis sans voix! Le CH en deuxième ronde, WOW!”

-Et pourquoi cette envolée tout à coup? Quelle stratégie nouvelle l’équipe a-t-elle adoptée? Est-ce des joueurs différents de la saison régulière?

-Heu… je l’ignore. Halak est trop fort, mais je n’ai pas vraiment suivi la saison.


À cet instant même, une envie folle de répliquer à cet individu me prit. “Bravo champion! Tu sautes de joie, tu es plongé dans la béatitude de l’extase, tu t’achètes un drapeau pour mettre sur ta voiture, tu montres ton patriotisme envers les Canadiens, mais tu n’es même pas foutu de suivre leur saison régulière.” Un discours trop direct me direz-vous? Des propos désobligeants? Peut-être. Mais je trouve malsain, ou dommage, oserais-je dire afin de paraître plus aimable, que certains individus commencent à festoyer puis à louanger les joueurs simplement parce que les séries ont enfin débuté et parce que l'équipe montréalaise gagne.


Je comprends cette frénésie qui entoure cette période de l'année, qui permet aux gens de se rassembler, de vivre intensivement une panoplie d’émotions, bref de créer une cohésion de groupe. C’est correct. J’accepte ces raisons. Cependant, si un de vous est dans l’impossibilité de répondre à cette liste de questions (niveau de difficulté 3/10) à propos de l’équipe qu'il adule depuis le début des séries, qu'il se pose alors les vraies questions. Est-il réellement le « fan » qu'il croit?

-Qui est le meilleur marqueur de l’équipe?

-Latendresse a été échangé pour quel autre joueur?

-Qui a remplacé Bob Gainey comme directeur général ?

-Qui suis-je, j’ai le #14 et mon contrat avec le Canadien se termine à la fin de la saison ?

-Qui s’est blessé au genou droit le 30 janvier dernier et qui a fait son retour le 24 mars ?

-Quel est le numéro de Lapierre ?

-Question piège, qui est le capitaine du CH ?


Avouez qu’en ce moment vous me trouvez rabat-joie, avouez, allez? Vous éprouvez une certaine haine, inoffensive de préférence, et vous sentez probablement que je vous empêche de célébrer. C’est faux. Je désire sincèrement vous voir ressentir des émotions « vraies », m’assurer que vous acclamez une équipe pour les bonnes raisons. Si le CH se retrouve à faire les séries et qu'il vous permet de jouir d’un plaisir physique et mental, comprenez que c’est grâce à l’énergie qu’il a déployée durant la saison régulière. En ce qui me concerne, que l'équipe ait eu des hauts et des bas, « I don’t care ». Mais j’ai à cœur le parcours des Canadiens qui mène à des résultats. Croire que ma présence assidue devant mon téléviseur a peut-être fait une différence, me satisfait pleinement.


J’avoue avoir été brève aujourd’hui, mais je crois que mes propos, et je l’espère, vous feront réfléchir et réagir. Je vous demande également de vous poser une autre question. Si le Canadien n’avait pas participé aux séries, qu’auriez vous fait, qu’auriez vous dit. «Ah! Ils se sont pognés le beigne toute l’année, ça me surprend pas.» De un, parlez en connaissance de cause svp. Puis pour ma part, que l’équipe gagne ou qu’elle perde, qu’elle joue comme un pied ou qu’elle joue admirablement bien, je serai toujours présente pour regarder patiner les « habs » et apprécier le sport, qu’est le hockey.


En terminant, je souhaite à tous les fans du CH, une bonne fin de séries. Et pour ceux et celles qui n'aiment pas le hockey, je vous apprécie quand même! :)

samedi 24 avril 2010

Nadal, un "Gypsy"?

La semaine dernière, mon billet mettait en vedette ces sportifs, fashion victims, qui osent démontrer non seulement leur talent athlétique, mais également leurs attraits physiques. Afin de suivre la tendance, je vous propose aujourd’hui une vidéo qui représente admirablement bien l’athlète dans un contexte différent d’un match de tennis.

Au menu : Rafael Nadal, no3 mondial du classement ATP, dans le clip de Shakira « Gypsy ».

En ce qui me concerne, une vidéo très simpliste. Un contenant excellent pour les deux sexes, mais un contenu de premier niveau.
Un style « film de série B » ou un chef-d’œuvre édenien?
Qu’en pensez-vous?

mercredi 14 avril 2010

Des sportifs "fashion victims"?

L’allure "fashion", l’attitude « glamour », les couvertures de magazines, l’univers de la mode exerce sur l’esprit une véritable fascination. D’ailleurs, qui ne rêve pas de jouer au top modèle ou de s’improviser créateur d’une ligne de vêtements? Pour certains athlètes professionnels, la réponse semble tellement naturelle qu’ils se laissent eux-mêmes séduire par ce monde dangereusement attrayant. Les sportifs qui volent la vedette aux mannequins, qui posent pour des photographes célèbres et qui se transforment en designer, représentent la réalité d’aujourd’hui. Une situation favorable ou déplorable?


Le monde du sport en mutation, il est de plus en plus fréquent d’apercevoir des athlètes profiter de leurs nombreux attraits physiques et de se lancer dans le « mannequinat ». En plus d’être acclamés pour leurs performances sportives, ils arrivent à se faire une célébrité avec leurs jambes de gazelle, leur abdos découpés, leur corps désirable. Bravo à eux! Un phénomène si intriguant nécessite obligatoirement des questionnements! Peuvent-ils faire les deux? Ont-ils la capacité d’exceller en alternant « photo shooting » et compétitions internationales? Doivent-ils choisir entre champion ou célébrité? Revenons quelques années plus tôt. Vous connaissez Anna Kournikova? Oui, la belle et sexy Russe aux cheveux d’or. Elle était mannequin, non? Erreur, à la base, joueuse de tennis constituait son métier. Mais faute de pouvoir s’entraîner en raison de blessures répétitives et par passion pour le « jet-set », elle choisit d’exploiter admirablement bien son corps par le biais de photos, d’émissions de télévision, de publicités. Quel mal y a-t-il à profiter de ses atouts, hein? Si elle s'enrichit davantage grâce à ses contrats publicitaires que ses performances sportives, pourquoi n'abandonne-t-elle pas le tennis afin de se concentrer sur son talent de « poseuse »? Et bien, c’est ce qu’elle a fait. On lui a souvent reproché de n’avoir jamais récolté un titre en simple sur le circuit de la WTA. Ok, fine! Elle a malgré tout réussi à faire parler d’elle d’une autre façon. Néanmoins, en voyant ce genre d’attitude, de comportement, je me demande réellement s’il est normal que cette athlète professionnelle soit, avant tout, reconnue pour son sourire charmeur et non son coup droit? Et si à l’inverse, je prononce le nom, Wayne Gretzky, par exemple. La première image qui vous vient en tête est assurément celle d’un athlète qui possède 61 records dans LNH. D’ailleurs, n’est-ce pas la job d’un sportif de laisser sa trace à travers les années, avec ses performances grandioses? À moins que son but ultime consiste à faire de l'argent en se pavanant devant la lentille. À vous de me le dire!


Si certains ont opté pour le « mannequinat », d’autres ont été charmés par l’univers du design. La tendance d’investir dans une ligne de vêtements ou de faire équipe avec un créateur s’installe et semble persister. Pas assez satisfaisant de mettre en valeur mes qualités athlétiques, pourquoi ne pas faire plus et exploiter ma créativité, dira le sportif. Super intéressant, non? Surtout lorsque l’athlète est au top et que sa popularité ne cesse de croître. Qui ne voudrait pas porter la robe de la numéro 1 mondiale, Vénus Williams, sur un terrain de tennis ou les fameux pantalons à carreaux de Ian Poulter sur le green? Mais cette opportunité si alléchante peut, dans certains cas, se transformer en un obstacle difficile à surmonter. Si durant une période quelconque l’athlète fait face à des complications, s’il se blesse, s’il dégringole dans le classement, que se passera-t-il? Qui désirera parader vêtu d’un chandail dessiné par le 80ème mondial. Personnellement, pas moi! Mais si j’avais le choix, je n’hésiterais pas à me procurer les vêtements d’un ancien médaillé d’or aux Jeux Olympiques, appelé Bruny Surin. Quelle bonne idée a-t-il eu de lancer sa collection après une merveilleuse carrière! Jouissant déjà d’une excellente réputation, il augmente ses chances de réussir. Pour les intéressés, sa ligne de vêtements de sport pour hommes et pour femmes est en vente au Québec.


Après mûres réflexions, je crois que les athlètes peuvent faire les deux, puis s’ils arrivent à une symbiose entre champion et « fashion star », tant mieux. Cependant, il est d’une évidence même que leur carrière d’athlète doit être priorisée. La performance sportive est celle qui assure l’accès à une première notoriété et si elle se voit négliger, bye-bye crédibilité et adieu le fan club! En ce qui me concerne, si l’athlète est en mesure de se retrouver parmi les meilleurs au monde et de poser en sous-vêtements pour un magazine, je n’y vois aucun inconvénient. Pensiez-vous vraiment que j’allais fermer mes yeux et me priver de ces performances? :)

vendredi 9 avril 2010

Un kinésio, ça prévient les bobos?

« Un prof d’éduc?, un physio?, un ergo? » « Non, un kinésiologue! » Vous connaissez? La kinésiologie s’intéresse au mouvement humain. Cette science connaît aujourd’hui un essor en raison du vieillissement de la population et de l’intérêt grandissant du mieux-être des individus. Malgré un désir intense d’acquérir une popularité auprès du grand public et d’être au sommet de sa notoriété, cette discipline semble encore en laisser plus d’un perplexes. D’ailleurs, un journaliste en a lui-même perdu ses mots, la semaine dernière. Dans un des médias écrits québécois, l’orthographe du terme « kinésiologie », était incorrecte. Assez décevant, non? Je manifesterai donc ma solidarité en éclaircissant le mystère de ces éducateurs physiques aux formations beaucoup plus avancées. Afin d’assurer l’exactitude de mes propos, j’ai fait appel à une kinésiologue, actuellement à la maîtrise, prénommée Amélie.


C’est quoi ça?: La kinésiologie est une pratique professionnelle destinée à favoriser un état d’équilibre et de bien-être physique. Elle utilise le mouvement afin d’améliorer la condition physique, la capacité des muscles et des systèmes énergétiques d’un individu. Par le biais d'interventions spécialisées et sécuritaires, le kinésiologue exerce des fonctions telles que, l’évaluation de la condition physique, la conception de programmes d’entraînement spécialisés, l’analyse des tâches et activités ainsi que le suivi de ses clients. Il accorde également une grande importance à la promotion de la mise en forme en se donnant comme rôles principaux:

-de partager ses conseils, ses connaissances des bienfaits du sport et de l’éducation en matière d’activité physique

-d’animer des séances d’entraînement

-de faire la promotion et la création de programmes en santé

-de promouvoir l’assiduité de l’exercice.


Puis moi, est-ce je peux travailler avec un « kin »?: Si la force du kinésiologue réside dans la variété de ses tâches, elle se trouve également dans la diversité de ses clients. Tout d’abord, celui-ci peut travailler en étroite collaboration avec des athlètes désireux d’améliorer, de façon considérable, leurs résultats, leurs performances. Le kinésiologue a également la chance de mettre ses compétences à profit en prenant en charge des individus en réadaptation physique, ayant souffert de blessures musculosquelletiques. De plus, à l’aide d’exercices précis et adaptés, le spécialiste de l’activité physique, peut travailler seul ou en interdisciplinarité avec d’autres intervenants de la santé (médecin, physiothérapeute, psychologue, nutritionniste, ergothérapeute), afin d’améliorer la condition des populations symptomatiques (maladies cardiovasculaires, maladies chroniques, troubles métaboliques, récupération post-opératoire etc). Finalement, toute personne, qu’elle soit enceinte, stressée, atteinte d’incapacités physiques, de 7 à 77 ans ou plus, qui a à cœur sa santé et qui désire améliorer sa qualité de vie, peut avoir recours à ces professionnels.


Comment choisir un bon kinésiologue?: Il semble d’une évidence même que, pour certains, l’univers de la kinésiologie est méconnu, voire même inconnu. Il est donc difficile, pour ceux-ci, de se tourner vers ce genre de pratique. Je vous conseille d’aller sur le site de la Fédération des kinésiologues du Québec (FKQ) et de vous diriger dans la section « trouver un kinésiologue ». Le bottin vous permettra de faire des recherches rapides en fonction de la région, du service, du secteur, de la clientèle, etc. Mais comme dans plusieurs domaines, le bouche-à-oreille se révèle être une méthode très efficace pour s’informer. Soyez donc tout ouïe! D’ailleurs, afin de faciliter votre travail, selon Amélie, les principales qualités que doit posséder un bon « spécialiste de l’entraînement » sont, l’écoute, le professionnalisme, l’empathie, le positivisme et l’énergie contagieuse. Ah! Comme c’est étrange!, Amélie maîtrise parfaitement ces habiletés! :)


Puis le déroulement?: Après avoir trouvé votre « kin» de rêve, il est maintenant temps de suivre votre première séance. Tout individu recevra des services adaptés qui répondront à ses besoins. Cependant, des étapes de base font partie du processus de la mise en forme.

1. Consultation afin de prendre connaissance des besoins du client (ses attentes, ses objectifs, ses limites) et de ses préférences (à domicile, en clinique, privé, semi-privé)

2. Évaluation de la condition physique (différents tests à passer)

3. Élaboration du programme d’entraînement en fonction des résultats obtenus

4. Suivi fait selon le type de programme et de sa fréquence. La méthode utilisée est F.I.T.T. : Fréquence (nombre de fois), Intensité, Temps (durée), Type (le genre d’activité)


De nos jours, l’intégration de la kinésiologie en milieu de travail est de plus en plus fréquente. J’ai d’ailleurs demandé à Amélie ce qu’elle en pensait. « On sait que la santé est une des grandes préoccupations de notre société et si nous, les kinésiologues, sommes en mesure de l'intégrer des les milieux de travail, ce sera un grand pas vers l'amélioration de la condition physique. Que ce soit grâce à des cours de groupe pendant le dîner, à des « clubs » de marche, à des conférences ponctuelles, à des « gym » intégrés dans le milieu de travail, ces mesures peuvent définitivement faire une différence. Amélie m’a également mentionné que l’entreprise Ubisoft possède maintenant un « gym » accessible aux employés dans leur milieu de travail, et queBombardier profite de l’expertise de kinésiologues, qui leur offrent des séances d’étirements, d’activation et d’exercices de mobilité, sur place. Le point positif dans tout ça ? Ces initiatives ont permis de diminuer à long terme les risques de blessure et d’améliorer la qualité du travail des employés.


C’est fini !!: Ais-je réussi à éclairer le mystère de la kinésiologie? Comprenez-vous mieux l’importance de cette pratique? Ais-je persuadé les plus septiques de se mettre en forme ? Si je n’ai pu répondre à vos questionnements, je vous dirai simplement: « Mieux vaut prévenir que guérir!» Et si ça ne fait pas votre affaire, écrivez à la charmante kinésiologue, à l’adresse amelie_plante@hotmail.com. Amélie vous donnera davantage de conseils et de recommandations.